Pourquoi nous mobilisons-nous ?

La question de la durée de période de cotisation aura un impact direct sur tous les magistrats qui ont eu une « vie professionnelle » avant d’intégrer la magistrature, et ils sont nombreux.

La question de la pénibilité des fonctions qui a longtemps fait sourire et a presque été un tabou constitue aujourd’hui une réelle interrogation pour le corps judiciaire tant ses conditions de travail sont désormais dégradées.

La question de l’intégration des primes dans le calcul des droits à pensions est plus que jamais une question essentielle pour l’indépendance du corps judiciaire. 

Parce que les magistrats judiciaires n’ont pas vocation  à finir dans la gêne en remerciement  de leur engagement professionnel, ni à mourir dans l’exercice de leur métier,  et par solidarité syndicale, nous soutenons le mouvement national de protestation du 19 janvier 2023.